Virtualisation

Un snap­shot per­met de pré­ser­ver l’é­tat d’une machine vir­tuelle. Le snap­shot per­met de retour­ner à un état anté­rieur de la machine, et ain­si faire comme ci aucune modi­fi­ca­tion n’a été appor­té. Les snap­shots sont utiles quand l’on sou­haite faire des tests, faire des mon­tés de ver­sion, ou encore si l’on veut réa­li­sé quelque chose dont nous ne sommes pas sur de la fina­li­té.


A la créa­tion d’un snap­shot, un fichier de la même exten­sion que la VM se créer — Exemple: pour VMware, un fichier .vmdk, avec un fichier “Snap­shot”. Ain­si, la machine vir­tuelle, va écrire les don­nées qui ont chan­gées sur le nou­veau fichier, l’an­cien fichier va pas­ser en read-only, elle pour­ra lire les anciennes infor­ma­tions et écrires les nou­velles sur le nou­veau fichier. 

Kernel-based Virtual Machine est la base de la vir­tua­li­sa­tion, il est inté­gré au noyau Linux. Cela per­met d’a­voir tota­le­ment le contrôle sur notre hyper­vi­seur et de savoir exac­te­ment ce qui y ai ins­tal­lé.


Sur un ser­veur Debian, on ins­talle les paquets néces­saires:

apt install qemu-kvm libvirt0 qemu libvirt-clients libvirt-daemon-system

Sur un client Debian, on peut ins­tal­ler les paquets néces­saires pour pou­voir faci­le­ment le mana­ger:

apt install virt-manager

L’in­ter­face de connexion, res­semble à cela:

Nous pou­vons ajou­ter une connexion avec file →Ajou­ter une nou­velle connexion.
L’a­van­tage c’est que tout se passe en SSH, et nous pou­vons avoir la vu de tous nos ser­veurs, et toutes nos VMs sur une seule inter­face

tips

virt-mana­ger n’exis­tant pas sur Win­dows, il est pos­sible de se connec­ter en SSH avec le X for­wa­ding, soit avec ssh ‑X, soit avec MobaX­term qui le gère nati­ve­ment, oui lan­cer virt-mana­ger !

ESXI est un hyper­vi­seur de type 1. Il a l’a­van­tage de pos­sé­der des tech­no­lo­gies plus récentes que cer­tains hyper­vi­seur, com­pa­ré à prox­mox, il est éga­le­ment lea­der du mar­ché. Il pos­sède une bonne inter­face connue avec l’hy­per­vi­seur de type 2 VMWare Works­ta­tion qui per­met de faire des machines à dis­tance, et en local via la même inter­face. Il faut par contre pos­sé­der une licence.


Ins­tal­la­tion

ESXI charge le cd d’ins­tal­la­tion.

ESXI charge l’ins­tal­la­tion.

On appuie sur “Entrée”.

On accepte la licence en appuyant sur F11.

Il scan les disques.

On choi­sit le disque pour l’ins­tal­la­tion puis “Entrée”.

On choi­sit le cla­vier Fran­çais puis “Entrée”.

On rentre un mot de passe mini­mum de 7 carac­tères et une majus­cule, puis “Entrée”.

On écrit sur les disques, on appuie sur “F11”.

L’ins­tal­la­tion se déroule.

On nous signale d’en­le­ver le disque d’ins­tal­la­tion puis “Entrée”

ESXI est lan­cé, nous pou­vons nous connec­ter sur une inter­face web à l’a­dresse indi­qué.

Prox­mox est un hyper­vi­seur de type 1. Il pos­sède éga­le­ment l’a­van­tage d’être libre et gra­tuite. On peut éga­le­ment avoir une sup­port si l’on le sou­haite.


Installation

On choi­sit le démar­rage au GRUB ” Ins­tall Prox­mox VE”.

On accepte la licence avec ” I agree “.

Choix des disques pour l’ins­tal­la­tion.

Sélec­tion de la loca­li­sa­tion pour le temps.

Ajout du mot de passe root et d’une adresse e‑mail, vous pou­vez en mettre une fausse.

Ren­sei­gne­ment de l’in­ter­face réseau prin­ci­pale, des infor­ma­tions réseaux.

Rap­pels de toutes les infor­ma­tions concer­nant l’ins­tal­la­tion.

L’ins­tal­la­tion est ter­mi­née, redé­mar­rer et connec­tez-vous sur un navi­ga­teur à l’a­dresse indi­quée

Le moyen de vir­tua­li­sa­tion spé­ci­fique au centre de Lille est Xen­Ser­ver qui est un hyper­vi­seur de type 1, on uti­lise donc Xen­Cen­ter pour faire les mani­pu­la­tions, qui se pré­sente sous cette forme

On voit avec l’u­ti­li­sa­teur les besoins dont il a besoin pour sa machine vir­tuelle, tel que la RAM, les coeurs de pro­ces­seurs, l’es­pace disque etc …
On sélec­tionne un ser­veur, on clique sur New VM

On sélec­tionne le type d’I­SO

On insère le nom de la VM selon une conven­tion de nom­mage par­ti­cu­lière et en des­crip­tion, on met le nom à qui appar­tient la machine vir­tuelle ain­si que les ini­tiales

On sélec­tionne le boot sur le réseau

On n’as­signe pas de ser­veur par­ti­cu­lier, la machine vir­tuelle démar­re­ra sur le ser­veur ayant le moins de charge comme du round robin

On met la confi­gu­ra­tion requise selon les besoins spé­ci­fiques de l’u­ti­li­sa­teur, si c’est juste pour une machine bureau­tique ou une machine métier

On sélec­tionne si l’on veut un GPU pour si l’u­ti­li­sa­teur à le besoin d’exer­cer des cal­culs gra­phiques

On met un cer­tain espace selon éga­le­ment les besoins de l’u­ti­li­sa­teur, sou­vent pour une machine bureau­tique, on attri­but 150 Gigas d’es­pace disques

On sélec­tionne le réseau dont on veut qu’il soit

Un petit réca­pi­tu­la­tif appa­rait et on clique sur Create Now

La prise de main sur la machine à dis­tance

Ici on tape dans la barre de recherche le nom de la machine, ou le nom de la per­sonne à qui appar­tient la machine, ou ses ini­tials, puis on sélec­tionne la VM, puis console, cela nous per­met un accès direct à la machine